Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ?
Sujet: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Jeu 27 Nov 2014 - 19:21
Laïla Kseniya Gallagher
Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ?
DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 09 aout 1967, à Londres.Cependant Maman est… Etait moldave et l’autre imbécile est anglais. J’ai donc hérité d’une double nationalité.
AMBITION : J’entame ma septième année, et première à Dumstrang. C’est ma rentrée dans une nouvelle école, et j’en reviens toujours pas d’être ici. J'ai intégré après la cérémonie de la dague, les Stribog. A Poudlard, j'ambitionnais de devenir védicomage. A présent, et bien... Plus rien ne m'intéresse vraiment. Mon but c'est d'être diplômé et de prendre mon envol.
CARACTERE : Indépendante- Se fout un peu de tout - Associable - Menteuse - S'’amuse de faire tourner les gens un peu en bourrique - Rancunière ? - Émotivité et sensibilité cachées - Cœur sur la main - Féroce - Indomptable - Loyale - Protectrice - Meurtrie - Se sent incomprise - Quelques fois sympathique et pleine d'humour, mais le cache - Solitaire - Pessimiste
En détail:
S’il y a bien une chose qui n’a pas changé entre Avant et Après, c’est bien mon indépendance. Je n’ai jamais compté sur personne, et je ne souhaite pas que cela change. Toutes les personnes que j’ai pu aimer m’ont laissé tomber alors on repassera pour le côté « j’aime dépendre des autres et m’appuyer sur eux ». Mes parents n’étaient jamais là, alors j’ai bien dû apprendre à faire sans. Ouais, je vivais chez les parents de mon père, mais leur absence a toujours été très pesante, même si je la comprenais. Ils étaient passionnés, et c’était quelque chose qu’ils m’ont transmis. Je ne faisais jamais les choses à moitié avant, et je m’investissais à fond dans ce en quoi je croyais. Maintenant, les choses ont changé. Je m’en fous un peu de tout. Tout ce qui compte c’est que je puisse enfin mettre les voiles. Je n’ai plus envie de dépenser de l’énergie dans le vent, ça c’est fini. Maintenant je m’investis légèrement dans les combats que je suis sûre de gagner et le reste, je m’en fous comme du premier sorcier qui a dompté un dragon. Cette foutue vie m’a arraché ma mère, alors franchement je ne crois pas qu’elle puisse m’apporter quelque chose de bien. Si je veux quelque chose, je ne peux compter que sur moi et moi seule. Je suis devenue assez associable moi qui pourtant avant était une grande bavarde. Et surtout, je suis devenue une belle menteuse. Je fais mine de ne pas comprendre ce que l’on me dit, endossant le rôle de la pauvre petite anglaise perdue, qui vient de débarquer et qui ne comprends pas parfaitement cette langue qui est celle de ma mère. C’est pas le cas hein ! Je suis parfaitement consciente de ce qu’on me dit. Mais ça m’amuse de faire tourner les gens un peu en bourrique surtout quand ils m’ont cassé les pieds avant, ou que je sens qu’ils vont le faire Rancunière ? complètement. Vous n’avez pas idée. Demandez donc à mon patriarche… Bon à côté de ça, je ne suis pas non plus un monstre… j’ai le cœur en mille morceaux et je souffre atrocement, même si je le cache. J’ai toujours été trop émotive et sensible. Maman disait que j’étais faite pour bosser avec des créatures magiques, et prendre soin d’elles. Elle me répétait souvent que j’avais le cœur sur la main, même si je n’étais pas franchement d’accord avec elle. Disons que je me retrouve dans les créatures magiques. Elles sont féroces et indomptables au premier abord. Elles n’accordent pas leur confiance et il faut s’en montrer digne. Alors là, seulement là, elles s’ouvrent à vous et se dévoilent. Elles se montrent loyales et protectrices, et elles ne vous trahiront pas. Jamais. En tout cas c’est comme ça que je vois les choses, et même si je me cesse de répéter que l’ancienne Laïla est morte en même temps que ma Maman, au fond, je sais que je suis toujours là même. En plus meurtrie et moins naïve. J’ai des bons côtés quelques fois. Demandez à Torben. Même si je passe beaucoup de temps à lui pourrir la vie et à jouer mon incomprise, je peux être sympathique et rigoler. Ouais, avant j’étais d’un humour débordant que j'aimais partager. A présent, je le garde pour moi. Parce que ça me rappelle lui, et j’ai pas envie de lui ressembler. Tout est de sa faute, et je ne suis pas du genre à pardonner. En tout cas c’est ce que je répète à tout va. J’ai besoin d’en vouloir à quelqu’un et diriger ma haine vers une personne tangible. Et c’est tellement plus simple de faire semblant de le détester, de le repousser, de lui faire vivre un cauchemar plutôt que de m’écrouler en pleures dans ses bras et le laisser panser mes plaies. Je n’arrive pas à m’ouvrir, et je n’ai pas versé une seule larme depuis que c’est arrivé. Je dois être forte, et cacher toute cette détresse qui comprime mon cœur. Parce que je ne comptais sur personne pour m’aider. Maman m’a abandonné, alors qu’elle avait promis d’être toujours là pour moi. Et Papa… Papa il ne comprend rien à rien et n’a pas la force ni la volonté de percer ma carapace. Il pense sincèrement que je le déteste et il a baissé les bras. Il m’a aussi laissé tomber alors que j’ai terriblement besoin de lui pour avancer et faire mon deuil. Il ne reste que moi et moi seule. Et cette solitude me semble sans fin, sans remède.
ARBRE GENEALOGIQUE : Gwendolyn McArthur / Gallagher ● Grand mère paternelle, 75 ans, retraitée, ancienne attachée de communication pour le ministère de la magie britannique. Sorcière ancienne élève de Poufsouffle. Fille unique d'une famille de moldue. Andrew Gallagher ● Grand père paternel, 78ans, retraité, ancien comptable pour une société de location de véhicule automobile. Moldu, cadet d'une famille de cinq enfants. Nolan Gallagher ● Père, 50ans. Chef d'une brigade de briseurs de sorts pour Gringott. Premier enfant de Gwendolyn et Andrew. Sorcier, ancien élève Serdaigle, Gardien de 1947 à 1952, Capitaine de l'équipe de Quidditch de 1950 à 1952. Veuf. Elisabeth Gallagher ● Tante. Fille cadette d'Andrew et de Gwendolyn. Soeur de Nolan. Décédée à l'âge de 13ans d'une dragonnite aigüe. Sorcière de la maison de Gryffondor. Rodolphus Pfeiffer ● Grand père maternel. Décédé à l'âge de 78ans, dans un accident de balai magique. Ancien politicien. Sang pur. Ancien élève de Svarog. Kseniya Nejdanov / Pfeiffer ● Grand mère maternelle. Décédé à l'âge de 80ans, dans un accident de balai magique. Ancienne femme au foyer. Sang pur. Ancienne élève de Svarog. Jana Pfeiffer/Gallagher ● Mère. Décédé à l'âge de 38ans dans un accident magique. Ancienne briseuse de sort pour Gringott. Sang pur. Ancienne élève de Svarog. Feodosiy Pfeiffer ● Oncle. Décédé à l'âge de 23ans. Sorcier. Ancien notaire. Lyudmila Pfeiffer ● Tante inconnue. 43ans. Sorcière reniée par la famille. Serait affiliée mangemorte
DATES CLEFS: 09 Aout 1967 : Naissance de Laïla. 21 juin 1970 : Jana Gallagher est engagée par Gringott comme briseur de sortilège. Elle intègre l’équipe de son époux. Commence alors l’enfance faite de voyage de Laïla. Elle découvrira, au fils des années de nombreux pays comme l’Egypte, les Etats-Unis, l’Australie, le pôle Nord, l’Europe, et la Chine. 11 mars 1973 : Mort de Gustave, le parrain de Laïla, et meilleur ami de Nolan. 07 janvier 1974 : Laïla, lors d’un énième voyage avec ses parents, détruit par inadvertance un vase chinois, déclenchant un maléfique cuisant. Trois personnes seront blessées superficiellement, dont son père. 08 janvier 1974 :Les Gallagher retournent en Angleterre. Ils décident de changer de mode de vie. Si les parents repartent aussitôt à l’étranger pour des raisons professionnelles, Laïla, elle, emménage chez ces grands-parents paternels. 01 juillet 1984 : Laïla s’installe dans l’une des chambres de la maison de chez parents, aux abords de Londres, seule, ces derniers étant en voyage professionnel. 08 Aout 1984 :Jana Gallagher désobéit à son chef d’équipe et entre seule dans un temple grec pour y déjouer les sortilèges et faire une surprise à sa fille en rentrant plus tôt. Quelques heures après, un éboulement se produit, à la suite d’une mauvaise manipulation de la sorcière. Elle est enterrée vivante avec les vestiges du temple. 09 Aout 1984 : Jana Gallagher est retrouvée sans vie par son époux, après de nombreuse heures de recherche. 15 Aout 1984 : Jana Gallagher est enterrée en Angleterre, dans le caveau des Gallagher. Laïla refuse d’y aller et reste dans sa chambre. 19 Aout 1984 : Nolan Gallagher contacte Torben Badenov. Avec l’aide de ce dernier – et d’une belle somme d’argent –, il arrive à faire transférer Laïla à Dumstrang. 28 Aout 1984 : Laïla déménage chez Torben Badenov, en Moldavie. 01 Septembre 1984 : Laïla intègre Dumstrang. Pendant la cérémonie de la dague, elle se retrouve affiliée à Stribog.
En détail:
▪▪▪ Ce que j’ai subi a fait de moi ce que je suis ▪▪▪
Aujourd’hui, c’était mon anniversaire. Mais pas n’importe lequel. C’est celui de mes dix-sept ans, celui où, officiellement, selon la loi magique anglaise, fait de moi une personne majeure. Je l’avais attendu depuis si longtemps. J’avais compté les jours qui me restaient à attendre, les barrant sur un calendrier depuis que j’avais finis les cours à Poudlard. Ce jour, je l’attendais depuis une éternité et enfin, enfin, il était arrivé. J’avais trépigné d’impatience, attendant devant la porte que mes grands-parents viennent me chercher et m’emmener chez eux. Je les connaissais assez pour savoir qu’ils m’avaient surement sortis le grand jeu, quand bien même, j’avais refusé de venir passer un nouvel été chez eux. Je n’étais plus une petite fille, et je pouvais rester toute seule, dans la maison acheté par mes parents il y a trois ans, aux abords de Londres. Un mois, ce n’était pas la mer à boire après tout. Et puis, il y avait les voisins qui passaient régulièrement me voir, comme Adam – mon petit ami – et quelques amis. D’ailleurs, ils devaient se joindre à nous pour le dessert. Papa et Maman devaient, quant à eux, arriver un peu avant le repas. Cette journée s’annonçait parfaite. J’avais moi-même sorti le grand jeu. Aux placards mes jeans habituels et mes tops, et bonjour la belle robe rouge. J’ai même mis des talons pour vous dire ! Ils n’allaient vraiment pas en revenir, ça ne faisait aucun doute. Fini la petite Laïla ! Place à Laïla la jeune femme séduisante, sûre d’elle, et… Majeure.
« Joyeux anniversaire Laïla. »
Murmurais-je en soufflant une bougie que j’avais plantée sur un gâteau sec de la marque Prince. Mon assurance et ma bonne humeur avait fini par s’effilocher à mesure que les heures s’étaient écoulées. Mes grands-parents n’étaient pas venus me chercher. Ni même mes parents, mon parrain, mon petit ami, ou un quelconque amis d’ailleurs. Il était à présent six heures du soir, et toujours personne en vu. J’avais envoyé un hibou, mais il n’était pas revenu, et mes coups de téléphones résonnaient dans le vide, ou débouchaient sur un répondeur qui contenait déjà plusieurs de mes messages. J’avais fini par me faire à l’idée qu’ils m’avaient tous oubliée. Aujourd’hui aurait dû être une très belle journée, et je l’avais attendu avant tant d’impatience. Mais ils l’avaient gâché. Ils l’avaient tous gâché. Je balayais tout ce qui se trouvait sur la table d’un mouvement de main, avant de m’adosser au mur, et y glissais le long, jusqu’à me retrouver par terre. Je serrais mes genoux entre mes bras, et des larmes se mirent à couler sur mes joues. Seule. Abandonnée… Voilà ce que j’étais.
▪▪▪ Toutes les parties de mon être vont périr. Toutes. Sauf une. Un détail. Un tout petit détail, fragile, mais qui est la seule chose dans ce monde qui ait de la valeur. Il ne faut jamais le perdre ou l’abandonner. Il ne faut jamais laisser personne nous le prendre. ▪▪▪
« Laïla ? Laïla ma chérie, regarde par là… Ahhh Nolan, je ne vais pas y arriver, ta fille n’arrête pas de bouger. » « Elle ne sait pas tenir en place, comme sa maman. » « Ou comme son papa tu veux dire ! » « Tu as raison. Comme nous deux. »
Souriant jusqu’aux oreilles, ma mère laissa tomber l’appareil photo pour venir embrasser mon père qui la regardait avec les yeux les plus tendres du monde. Je venais d’avoir six ans, et comme chaque année, nous fêtions cela tous ensemble. Aujourd’hui, nous étions en plein cœur d’un désert d’Egypte, que j’avais décidé de cartographier. Mon père venait de m’offrir tout l’équipement nécessaire à cela et ma mère avait finalement été résignée en voyant que je ne m’intéressais absolument pas à la poupée qu’elle m’avait choisi. J’avais trop de choses à voir et à faire pour me préoccuper du jouet. Il fallait que je dessine puis note toutes les coordonnées des dunes, même si demain, elles ne seraient plus à la même place. C’était la mission que je m’étais donnée et je comptais bien l’accomplir. Je ne facilitais pas franchement la tâche de ma mère qui consistait à immortaliser cet instant. Enfin, ça c’était avant qu’une paire de bras me soulèvent. Je protestais un « Maiiis » pour la forme, avant de décider de prendre la pose avec l’homme qui était arrivé à m’attraper. Mon parrain bien sûr. Il s’était glissé derrière moi, et avait profité que j’ai l’esprit ailleurs pour que je me laisse prendre en photo. Je me décidais quand même à tirer la langue au dernier moment, juste pour le plaisir, avant de retourner à ma tâche. Mon père ne put s’empêcher de rire, suivi par Gustave – le dit parrain – . Quand à ma mère, elle leva les yeux au ciel avant de rire à son tour et de me prendre en chasse
« Viens là, petite canaille. Fait gaffe si je t’attrape… »
. Je lâchais mes instruments d’apprentie archéologue pour jouer à chat avec ma mère. Je riais de bon cœur. Ma vie de petite fille n’était pas parfaite, mais aujourd’hui, elle l’était à mes yeux.
▪▪▪ Souviens t’en car, à l’oublier, jamais je ne pourrais me résoudre ▪▪▪
« Laïla ? Ma Puce, réveilles toi, il est l’heure. »
Mon père avait frappé à ma porte, mais je n’avais pas répondu. J’étais restée allongée, dans mon lit, bien décider à lui faire comprendre ce que je pensais de tout cela. Je n’allais pas lui faciliter la tâche. Ni à lui, ni à maman d’ailleurs. Ils m’abandonnaient, voilà ce qu’ils faisaient. Ils me laissaient sur le banc de touche parce qu’à présent, j’étais un poids pour eux. Du haut de mes sept années, je n’étais qu’un fardeau pour eux. J’avais fait une bêtise oui, mais je m’étais excusée pour ça. Je n’avais pas fait exprès de casser le vase qui contenait un maléfice. Je n’avais pas fait exprès de détruire leurs matériels et de les obliger à rendre des comptes à leurs patrons. Je ne l’avais pas fait exprès du tout. Et pourtant, ils avaient décidé de me punir, et de la pire façon qui soit. Ils avaient décidés de me laisser tomber, et m’abandonner dans une maison, avec des gens que je ne connaissais pas. Ils étaient de ma famille, les parents de mon père, oui, mais je ne les connaissais pas, et je ne voulais pas les connaitre. Je voulais rester avec ma maman et mon papa. Je voulais continuer à voyager avec eux, à découvrir différent pays. Je ne voulais pas rester en Angleterre et loin d’eux. Ils avaient promis de revenir le plus souvent possible, mais je connaissais leur travail. Je savais qu’ils ne rentreraient pas régulièrement et qu’ils finiraient par m’oublier, par ne plus m’aimer. Cela allait arriver, même s’ils m’avaient certifiés que jamais, je ne quitterais leur cœur et qu’à chaque heure, qu’à chaque minute, qu’à chaque second passé loin de là, ils ne cesseraient de penser à moi. Mais c’était un mensonge, je le savais très bien. D’abord Gustave, et maintenant eux. D’abord mon parrain, décédé à cause d’un moldu ivre, et maintenant eux. Des larmes silencieuses coulaient le long de ma joue, et venaient s’écraser sur mon oreiller.
« Nous devons partir ma Chérie. S’il te plait, laisse nous te dire au revoir… Je t’en supplie, soit raisonnable Laïl… » « VA – T – EN ! JE TE DETESTE TOI ET ELLE ! JE VOUS DETESTE ! »
J’avais relevé la tête et tout ce sur quoi mon regard ce posa s’envola en sa direction. Lampe, réveil, oreiller, peluches. D’un coup de baguette, il arrêta tout et les renvoya à leur place, comme si de rien n’était, comme si rien ne s’était passé. Quant à moi j’étais de nouveau écroulée dans mon lit, le visage enfouis sur la couverture. Quelques secondes après, je sentis mon père m’étreindre avec toute la tendresse et tout l’amour qu’il ressentait pour moi. Mais… Cela ne suffisait pas. Je voulais qu’il m’amène avec lui, et qu’il ne m’abandonne pas. Il me murmura un
« je t’aime »
, avant de s’en aller et de me laisser. Je sortais en trombe de mon lit, et entendant la voiture démarrer. Je courrais comme une dératée dans le couloir et les escaliers pour les rattraper, mais il était trop tard. Je leur criais de revenir, mais ma voix fut perdue. Les deux vieilles personnes voulurent me prendre dans leurs bras, mais je les repoussais avant de m’enfuir en courant. Aujourd’hui, je venais de manifester des pouvoirs de sorcière, mais au lieu de m’en réjouir, cela ne fit que redoubler mes pleurs. Je me retrouvais seule, toute seule. Et pour la première fois de ma vie, je n’eus ni envie de rire, ni envie de sourire.
▪▪▪ Dieu vit dans la pluie ▪▪▪
Il pleuvait ce jour là. Appuyée contre le rebord de ma fenêtre, je regardais les gouttes tomber, et inonder les terres. Il n’y avait plus un bruit dans la maison. Tous les invités étaient partis et un silence pesant résonnait entre les murs. Je n’avais qu’une seule envie, disparaitre et oublier. Un désespoir avait envahi mon cœur qui saignait et pleurait, chose que les yeux n’arrivaient pas à faire. Elle ne reviendra pas. Elle m’avait définitivement abandonnée. Tout était de sa faute, de sa faute à Lui. Il était son époux, l’homme qui l’aimait, son responsable au travail, celui qui aurait dû la protéger. Mais il avait échoué, et elle en était morte. Elle était partie avec lui dans une énième mission pour Gringott en qualité de briseur de sort, et elle n’était pas revenue. Un éboulement dans un temple grec m’avait enlevé ma mère. Je le détestais, tout était de sa faute. A lui et à lui seul. Si j’avais été là… J’aurais pu la sauver. Je n’étais peut-être pas la meilleure élève de Serdaigle, mais je m’en sortais bien et mes professeurs me trouvaient plutôt doués. Si j’étais complètement à la masse dans les cours de Sinistra, et Trelawney, je m’en sortais vraiment bien avec Chourave, Brûlopot et Rogue – professeur exécrable au possible soit dit en passant -. D’après Flitwick, - le directeur de ma maison à Poudlard - j’avais de l’avenir auprès des créatures magiques et si mes notes se maintenaient dans ces matières, je trouverais tout de suite du travail après mes ASPICS. Cette idée me réjouissait, moi qui ne rêvait de que de faire mes preuves et devenir indépendante. Je voulais que mes parents me voient, me remarquent et soient fiers de moi comme je l’étais d’eux. Mais cela n’arriverait plus. Mes rêves étaient morts avec Elle, Elle que j’avais refusé d’enterrer, Elle que je n’avais pas accompagné au cimetière aux côtés de mon père et de mes grands-parents. Il ne me restait que des souvenirs et des photos d’Elle. Et sa baguette. Prenant la mienne dans mes mains, je la brisais en deux morceaux, puis quatre, puis huit avant d’ouvrir la fenêtre et de jeter les morceaux à travers. Je n’en voulais plus. Je ne voulais plus rien qui puisse me rapprocher de lui et m’éloigner d’elle. Je voulais partir d’ici, de cette maison qui me rappelait sans cesse sa perte, qui me rappelait qu’Il avait échoué et que je le détestais. J’avais besoin d’air, de prendre le large. Mais je ne bougeais pas. Je laissais le vent et la pluie s’engouffrer dans ce qui me servait de chambre, mouillant ma peau, mes vêtements, mes cheveux et mes affaires. Je serrais contre moi sa baguette et regardais au loin l’orage, ne pouvant m’empêcher de prier silencieusement Son retour. Elle ne pouvait pas être morte, elle n’avait pas le droit. Non elle n’avait pas le droit de me laisser tomber, de m’abandonner une nouvelle fois. Je m’en foutais que ce soit la guerre et des tensions qui remuaient le pays. Je m’en foutais des rumeurs sur vous-savez-qui, et de ses partisans. Je m’en foutais de ce ministère et de ses actions. Tout ce que je voulais, c’était qu’Elle me revienne.
« Maman, reviens, je t’en supplie. J’ai encore tant besoin de toi ».
▪▪▪ En vérité ce velouté de verbiage vire vraiment au verbeux alors laisses moi simplement ajouter que c’est un véritable honneur que de te rencontrer. ▪▪▪
Dumstrang. Cette école où Maman avait étudié. Elle était majestueuse, et même si je ressentais de la tristesse à l’idée de ne pas retourner à Poudlard, j’étais heureuse de passer les portes de cette nouvelle demeure. Le début d’une nouvelle vie, d’une nouvelle Laïla. Mon patriarche s’étant débarrassé de colis encombrant qu’était sa fille en la refilant à un parfait inconnu moldave, soit disant ami d’enfance de ma mère, je me retrouvais là à présent. Je n’avais essayé de le convaincre de me laisser rester en Angleterre. Je ne le voulais plus. Je ne voulais plus rien de lui. Je ne voulais plus parcourir les couloirs de SON école, et voir son nom écrit sur l’une des coupes de Quidditch. Je ne voulais plus que l’on sache qu’IL était mon père et qu’on vienne me présenter des condoléances. Je ne voulais plus qu’on me parle de Lui ou d’Elle. Je voulais rester seule, comme je l’avais toujours été finalement. Je replaçais mon écharpe autour de mon cou. Il faisait vraiment froid par ici, que j’en tremblais légèrement. A moins que ce soit l’appréhension ? Allez savoir. Je ne savais pas vraiment ce qui m’attendait, mais j’étais certaine que ce serait mieux que ma vie actuelle. Si j’avais su, je ne serais pas entrée dans cette maudite école. Le sort s’acharne contre moi et je commence à croire que je suis une véritable porte malheur.Je ne sais pas trop ce qui est en train de se passer, mais les choses vont mal dehors, et me font comprendre qu'un chaos encore plus grand que le mien se joue dans le monde entier, ce chaos que j’ai tant ignoré et rangé dans un petit coin de ma tête. Il était temps que j’ouvre les yeux : tout ne tourne pas autour de ma pathétique vie, et il y avait des choses plus importantes, plus grandes ; même si c’est plus facile à dire qu’à faire. Parce que ces murs sont en train de me faire plonger peu à peu dans un désespoir dont je n’entrevois pas la fin. Je pensais avoir regagné du poil de la bête avant d’entrer dans cette école, mais je m’étais trompée. Je suis en train de me noyer et personne ne peut m’aider. Personne. Je suis seule. Si seule.
❄︎❄︎❄︎❄︎❄︎❄︎❄︎❄︎❄︎❄︎❄︎❄︎ Demandes en cours
Arvid M. Lindström : Lien vers fiche - Dernier message le 03.12 Dragan Vrana : Lien vers fiche - Dernier message le 07.12 R. Ewa Bresson : Lien vers fiche - Dernier message le 07.12 Ilia Vasileva : Lien vers fiche - Dernier message le 07.12 Piotr M. Ostergard : Lien vers fiche - Dernier message le 07.12 Pseudo : [url=Lien vers fiche]Lien vers fiche[/url] - Dernier message le ???
Dernière édition par Laïla K. Gallagher le Mar 9 Déc 2014 - 16:07, édité 18 fois
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Sujet: Re: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Jeu 27 Nov 2014 - 19:22
Un peu de paix dans ce monde de fou
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On peut abandonner son intégrité pour presque rien mais c’est tout ce que nous possédons réellement, tout ce qui nous reste à la fin. Et dans ce petit espace nous sommes libres.
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Torben Badenov - Professeur - Tuteur
(c) weber_dubois22 Torben est un ami d’enfance de M’man. Je ne le connais pas vraiment. Ouais j’ai vu de photos de lui quand j’étais gamine, mais c’est un total inconnu pour moi. Ouais, je l’aime bien, il est cool et il ne me prend pas trop la tête. Enfin pour l’instant. Il ne sait pas trop comment se comporter avec moi, et c’est un peu réciproque. Disons que si pour le moment, je l’apprécie, je garde quand même du recul. Je ne sais pas si je peux me fier à lui. Après tout, M’man n’avait plus aucun contact avec lui, c’est bien pour une raison nan ? Et puis, juste pour le principe d’avoir été refilé comme un bébé qu’on ne veut plus, je compte bien lui en faire voir un peu de toutes les couleurs. Hors de question d’être la parfaite petite fille. Il peut aller se brosser s’il attend ça de moi. Je suis libre et indépendante. Je ferais donc comme je l’entends un point c’est tout. Et il ne pourra pas m’imposer sa loi, ça hors de question. Donc voilà, pour l’instant ça va, mais on verra ensuite.
Dernière édition par Laïla K. Gallagher le Dim 30 Nov 2014 - 19:35, édité 34 fois
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Sujet: Re: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Jeu 27 Nov 2014 - 19:22
Chacun sa route, chacun son chemin
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Ignore ce que je suis et procure-moi quelque déguisement qui conviendrait au dessein que je forme.
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R. Ewa Bresson - Professeur - Une aide non désirée
(c) ithika Ewa est un professeur qui devrait VRAIMENT se mêler de ce qui la regarde et laisser les autres un peu tranquille. Ok, elle est pas méchante, et elle veut bien faire. Seulement, son aide, je n’en veux tout simplement pas. Je n’en ai pas besoin d’ailleurs, même si je ne peux pas lui dire sans me faire remonter les bretelles par le professeur qu’elle est. Pourquoi s’est-elle mêlée de mes histoires à la fin ? J’étais tranquille, pénarde, en train de jouer la pauvre petite anglaise qui ne comprend rien à rien avec un étudiant qui m’avait bousculé comme si j’étais juste un insecte sous ses pieds. Je le faisais tourner en bourrique pour me venger et elle est intervenue en me parlant en anglais. Bon je l’avoue, qu’elle le traite d’imbécile est arrivé à me faire légèrement sourire. Si cela s’était arrêté là, ça aurait été cool. Mais le truc c’est que maintenant, dès qu’elle est dans les parages, elle ne peut pas s’empêcher de venir à mon secours. Bon sang, mais j’ai pas besoin d’être secourue. Ok, j’aime bien son sens de l’humour et la manière dont elle peut humilier verbalement les abrutis qui hantent les couloirs de l’école. Cependant, ça devient franchement lourd, et je passe à présent mon temps à vérifier qu’elle n’est pas dans les parages avant de faire tourner en bourrique un adulte. Franchement, elle me complique un peu la vie.
Dernière édition par Laïla K. Gallagher le Mer 17 Déc 2014 - 19:36, édité 5 fois
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Sujet: Re: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Jeu 27 Nov 2014 - 19:22
Casses-toi tu pues et marches à l'ombre !
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Preuve est faite que visages dévots et pieuses actions nous servent à enrober de sucre le Diable lui-même.
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Dragan Vrana - Professeur - Pervers de service
(c) Lellia (c) Lellia (c) Lellia (c) Aandy Ce professeur, c’est un gros pervers. Il est discret dans son genre, mais à chaque fois que je passe non loin de lui, je sens son regard peser sur moi. Et je suis sûre que c’est pas juste une impression. Et que, non je me fais pas de film. Je sais pas, je le sens c’est tout. Rien que d’y penser, j’en ai des frissons de dégoût. Je sais pas son nom, ni son prénom, mais je suis pas pressée de l’apprendre. C’est simple, dès que je le vois, je tourne les talons, quitte à faire des détours et arriver en retard à mes cours. Il est dérangeant, ouais, c’est ça dérangeant. J’hésite à en parler à Torben, je dois bien l’avouer. Disons que pour l’instant, j’ai pas de preuve. Par contre s’il commence à essayer de me parler, là c’est sûr que j’irais le balancer à celui qui est censé être mon tuteur. Bon ce serait en dernier recours hein, mais il me dérange ce pervers. Et j’ai franchement pas besoin de ça ces derniers temps. Je ne sais pas moi ! Qu’il se trouve une femme de son âge… Ou une autre étudiante intéressée. Car moi, je ne le suis clairement pas.
Dernière édition par Laïla K. Gallagher le Dim 28 Déc 2014 - 17:00, édité 4 fois
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Sujet: Re: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Jeu 27 Nov 2014 - 22:08
Elle me plait cette gosse !
Un petit lien ?
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Sujet: Re: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Sam 29 Nov 2014 - 17:58
Oh oui avec plaisir tu as une idée de départ?
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Sujet: Re: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Sam 29 Nov 2014 - 17:59
MOI?
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Sujet: Re: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Sam 29 Nov 2014 - 18:06
Oh oui avec plaisir :love01: Tu as aussi une idée de base?
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Sujet: Re: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Sam 29 Nov 2014 - 18:59
Pas encore, mais ma relation avec ton potentiel père est catastrophique... Du coup, ce serait bien si elles s'entendaient bien Je vais retourner lire ta fichette pour trouver une idée XD
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Sujet: Re: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Dim 30 Nov 2014 - 19:22
Tu me fais une description de ton personnage?
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Sujet: Re: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Ven 12 Déc 2014 - 9:26
Moi ?
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Sujet: Re: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Sam 13 Déc 2014 - 20:49
Oh oui avec plaisir Tu es une petite idée?
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Sujet: Re: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Dim 14 Déc 2014 - 8:59
J'y réfléchis. Comment ressent-elle son arrivée à Durmstrang ? Est-elle intégrée ?
Zenitsa B. Daskalov
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Sujet: Re: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Mer 17 Déc 2014 - 1:09
Laïla et Zenitsa sont les seules du forum en cycle primaire Je veux bien un lien si tu veux.
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Sujet: Re: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Mer 17 Déc 2014 - 8:47
E. Milicàh Stankovic a écrit:
J'y réfléchis. Comment ressent-elle son arrivée à Durmstrang ? Est-elle intégrée ?
Alors alors, elle est justement pas vraiment intégrée. Elle est très solitaire et passe son temps à faire semblant qu'elle ne comprend pas ce qu'on lui dit, et qu'elle est la pauvre petite anglaise fraichement débarquée, qui a des problèmes de compréhension. En fait, elle pige tout, mais de faire ça, ça lui permet de tenir les autres un peu à l'écart. Elle a l'impression en fait que personne ne peut comprendre ce qu'elle ressent et vu qu'elle veut de la pitié et de la compassion de personne... Du coup, elle est très renfermée sur elle même et elle limite les contacts humains. Même si elle est contente d'être à Durmstrang, Poudlard lui manque quand même, vu qu'en plus les deux écoles sont très différente l'une de l'autre.
Zenitsa B. Daskalov a écrit:
Laïla et Zenitsa sont les seules du forum en cycle primaire Je veux bien un lien si tu veux.
Oh oui avec plaisir Tu as une idée?
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Sujet: Re: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Mer 17 Déc 2014 - 19:54
Est-ce que du positif t'intéresserait du coup ? Une sorte de lien affectif pour les deux jeunes filles ? Puisque Milicàh est également rejetée par la plupart des élèves car elle est une sang-mêlée
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Sujet: Re: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Mer 17 Déc 2014 - 20:27
Tu m'oublies pas dans mon sujet hein ? :P
Zenitsa B. Daskalov
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Sujet: Re: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Dim 21 Déc 2014 - 18:54
Nita a un an de plus que Laïla du coup je suppose qu'on aurait pu lui demander de l'aider à son arrivée à Durmstrang. C'est une fille plutôt très discrète, elle n'aurait jamais cherché à faire amie-amie avec Laila en plus, en partie à cause de son statut de sang. Peut-être que ça pourrait nous donner un point de départ. Nitsa ne chercherait pas à s'immiscer d'aucunes façons dans la vie de la Stribog, ni à l'aider plus que ce que l'école demanderait. Elle pourrait lui avoir montré l'école, quelques trucs basiques et pourquoi pas l'aider dans quelques cours si les profs leur demandent parce que j'imagine que Laila ne demanderait pas spontanément. Je ne sais pas si Laila aurait été du genre à lui parler en anglais pour l'insulter ou autre ? Nitsa comprend plutôt bien donc ça pourrait être une situation à exploiter ? Elle n'aurait pas relevé, mais ne supporterait pas si Laila peut compromettre son image auprès des profs en étant trop insolente. Dis moi ce que tu en penses. Et on peut chercher autres choses si ça ne te convient pas.
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Sujet: Re: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Dim 28 Déc 2014 - 12:37
Roomie Il nous faut un lien entre colocataires
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Sujet: Re: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Dim 28 Déc 2014 - 15:52
E. Milicàh Stankovic a écrit:
Est-ce que du positif t'intéresserait du coup ? Une sorte de lien affectif pour les deux jeunes filles ? Puisque Milicàh est également rejetée par la plupart des élèves car elle est une sang-mêlée
Alors Laïla n'est pas rejetée, elle s'écarte elle même, volontairement. Elle ne veut pas vraiment se mêler aux autres car elle n'en voit pas l'intérêt en fait Si s'en serait pris à Milicàh devant elle, après, elle aurait essayé de détourner l'attention des "brutes", en jouant le rôle de la pauvre petit britannique perdue pour laisser le temps à Milicàh de filer ou qu'elle est du renfort. Elle ne l'aurait pas vraiment défendu, pas ouvertement en tout cas, mais elle lui aurait filé un coup de main en donnant l'impression que c'était juste une coïncidence, elle ne le voulait pas réellement et qu'elle n'avait pas remarqué que Milicàh avait des problèmes. Tu vois un peu ou pas?
Dragan Vrana a écrit:
Tu m'oublies pas dans mon sujet hein ? :P
Jamais Dragan
Zenitsa B. Daskalov a écrit:
Nita a un an de plus que Laïla du coup je suppose qu'on aurait pu lui demander de l'aider à son arrivée à Durmstrang. C'est une fille plutôt très discrète, elle n'aurait jamais cherché à faire amie-amie avec Laila en plus, en partie à cause de son statut de sang. Peut-être que ça pourrait nous donner un point de départ. Nitsa ne chercherait pas à s'immiscer d'aucunes façons dans la vie de la Stribog, ni à l'aider plus que ce que l'école demanderait. Elle pourrait lui avoir montré l'école, quelques trucs basiques et pourquoi pas l'aider dans quelques cours si les profs leur demandent parce que j'imagine que Laila ne demanderait pas spontanément. Je ne sais pas si Laila aurait été du genre à lui parler en anglais pour l'insulter ou autre ? Nitsa comprend plutôt bien donc ça pourrait être une situation à exploiter ? Elle n'aurait pas relevé, mais ne supporterait pas si Laila peut compromettre son image auprès des profs en étant trop insolente. Dis moi ce que tu en penses. Et on peut chercher autres choses si ça ne te convient pas.
Alors si Nita aurait été assignée pour aider Laïla, elle aurait tout fait pour la fuir c'est certain, en lui faisant comprendre qu'elle n'a besoin de personne, et qu'elle ne veut pas d'aide (Ouais, sale gosse brûlons là ! *pan*) Du coup, en voyant Nita, elle aurait été du genre à souffle en disant en anglais un truc du genre "oh non pas encore elle", mais pas plus insultant que ça. C'est une chic fille au fond, elle est juste complètement paumée A voir du coup si 1°)(Tendance positive) Nita aurait tout de suite cerné Laïla, et essayerait de la faire sortir de sa coquille 2°) (Tendance neutre) si elle ferait "sa corvée" obligatoire, en faisant bien comprendre à Laïla qu'elle non plus, elle a pas envie mais qu'elle n'a pas le choix 3°) (Tendance négative) elle ferait exprès de "courir" après Laïla, pour lui rendre la monnaie de sa pièce et l'enquiquiner vu qu'elle a bien compris que Laïla veut qu'elle lui lâche les basques
Tímea Bátori a écrit:
Roomie Il nous faut un lien entre colocataires
Oh oui avec plaisir Tu as une idée? Une envie particulière?
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Sujet: Re: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Dim 28 Déc 2014 - 16:16
Comme j'ai été validée hier, je t'avoue que j'ai beaucoup de places libres A voir si Laïla est pas trop chiante et qu'elle ne ronfle pas trop. Après je pense pas que Tim soit du genre à l'accueillir à bras ouvert et faire en sorte de bien l'intégrer. C'est pas pour autant qu'elle est méchante. Elle s'en fout :face: A voir aussi comment Laïla supporterait les crises lunatiques de Tim.
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Sujet: Re: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Dim 28 Déc 2014 - 16:22
Tímea Bátori a écrit:
Comme j'ai été validée hier, je t'avoue que j'ai beaucoup de places libres A voir si Laïla est pas trop chiante et qu'elle ne ronfle pas trop. Après je pense pas que Tim soit du genre à l'accueillir à bras ouvert et faire en sorte de bien l'intégrer. C'est pas pour autant qu'elle est méchante. Elle s'en fout :face: A voir aussi comment Laïla supporterait les crises lunatiques de Tim.
Laïla est du genre à pas parler et faire sa vie de son côté, sans se mêler de celle des autres. Elle est très solitaire et un peu associable. Du coup si Timéa ne vient pas l'embêter, essayer de faire copine copine, à lui poser des questions, c'est quelque chose que Laïla appréciera justement. Après si elle lui demande un élastique pour cheveux, ou de lui prêter X ou Y chose, ya des chances que Laïla lui dise oui parce que justement, elle serait pas casse pied, même si Laïla elle, demanderait jamais rien - elle veut être redevable à personne et d'aucune façon, pas même pour une barrette à cheveux :face: -. Du coup, ce serait du neutre à tendance positif ? Laïla aimerait la réserve et le côté pas envahissant de Tim et inversement. Après à voir comment ça peut évoluer dans le temps, vu que Laïla a débarqué au début de l'année scolaire à Dumstrang et qu'avant elle était à Poudlard.
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Sujet: Re: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Dim 28 Déc 2014 - 20:57
Oui un lien neutre positif Elles se respectent, mais ça ne va pas plus loin pour le moment. On trouvera bien un moyen de foutre le bordel par la suite :face:
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Sujet: Re: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Dim 28 Déc 2014 - 22:10
Tímea Bátori a écrit:
Oui un lien neutre positif Elles se respectent, mais ça ne va pas plus loin pour le moment. On trouvera bien un moyen de foutre le bordel par la suite :face:
C'est tout à fait ça :face: Je t'ajoute du coup très vite
Zenitsa B. Daskalov
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Sujet: Re: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Dim 4 Jan 2015 - 17:32
Désolée pour le retard. Alors je pencherai bien pour un mélange de la tendance un et deux. Nitsa fait très attention à son image de sang-pur irréprochable donc je pense qu'en public elle garderait une certaine distance avec Laïla et obéirait tout simplement aux ordres lui faisant des plans de cours, des fiches pour l'aider à réviser, tout ce qu'une parfaite étudiante ferait mais sans plus. Par contre si elles sont amenées à être dans un contexte plus privé, sans trop de monde pour les voir, Nitsa essayerait de la rendre moins fataliste sur son existence. Elle comprend ce que c'est de se sentir seule donc elle n'enfoncerait jamais d'avantage Laïla. Elle l'encouragerait subtilement à s'ouvrir en passant par quelques stratagèmes. Mais elle ne sera jamais intrusive, elle est trop polie et trop réservée de son côté pour créer ce genre de liens surtout si la personne en face n'est pas réceptive. Donc Nitsa l'aiderait toujours subtilement Le lien reste simple donc si tu as des idées pour envenimer/complexifier un peu je suis pour
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Sujet: Re: Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ?
Laïla Gallagher ● Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ?