••Enfance paisible, autour d'une famille aimante en Ukraine. Anastasiya est la cadette de la famille ; son père est moldu et sa mère sorcière.

••Elle fait ses études à beauxbâtons, alors qu'elle ne comprend pas pourquoi elle ne peut pas aller à Durmstrang, plus proche, simplement parce que son sang serait moins pur qu'un autre. Lorsque l'académie bulgare est ouverte aux sang-mélés, elle y entame un BES de droit sorcier.

••Après de brillantes études, elle travaille un temps pour le ministère magique ukrainien mais très vite, elle ne supporte plus l'oppression des puritains et se lance dans la révolte alors que le conflit éclate, bien qu'au fond d'elle elle reste pacifiste. Elle ne se bat que pour obtenir des droits qu'elle juge fondamentaux.

••Ainsi, une fois le gouvernement renversé, elle prône la paix et tente de retrouver une vie normale, malgré ses démons qui la hantent déjà. Mais la guerre est étendue à la moldavie, et Anastasiya ne peut y échapper.

••Un soir d'hiver, alors qu'elle devait retrouver sa famille vivant paisiblement à l'écart des tempêtes et des bains de sang, elle les retrouve tous morts au milieu du salon familial. Des tueurs moldaves, venus frapper l'ennemi en plein coeur. Cet épisode change totalement la jeune femme : désormais, seule la vengeance l'intéresse. Elle devient amère et cruelle, se jette tête baissée dans la guerre. C'est tout ce qui lui reste.

••Elle doit finalement se contraindre lorsque la paux est signée, bien que sa soif de sang est loin d'être étanchée. Tentant de retrouver la normalité mais de plus en plus rongée par les horreurs de la guerre, elle forme des policiers magiques un temps.

••Elle a tout quitté à la rentrée scolaire car elle a enfin retrouvé sa trace. Lui, le dernier qui lui reste à éliminer. Encore un peu de sang, une dernière fois, pour accéder à la paix... Anastasiya décroche sans mal un poste à Durmstrang grâce à son expérience des combats. Et elle apprécie ce travail d'enseignement, elle y trouve un certain apaisement. Ici, elle ne détruit aucune vie. Mais le sortilège la frappe de plein fouet. Elle perd peu à peu ses repères, ses convictions. Elle veut toujours tuer Badenov, le moldave qui a ordonné le meurtre des siens, mais le doute s'insinue doucement en elle, en même temps que le venin du sortilège. Le meurtre de Badenov ne la sauvera pas entièrement du mal qui la ronge...

Surprenez moi :face:
Tout ce qui vous passe par la tête, élèves, profs, du positif, du négatif, des liens tordus... je prends tout, et j'adore les relations ambigües !